Le granit se raconte, le granit à Guéhenno richesse ou richesses? - Guéhenno
Vous l’aurez compris, le sol de Guéhenno est riche en granit de qualités différentes.
C’est à l’exploitation de cette pierre de granit, par des hommes maîtrisant un riche savoir-faire, que Guéhenno doit son identité.
Influencés par cet environnement granitique, ils ont au cours des siècles, créé des ambiances que vous pourrez percevoir en cheminant au fil des sept panneaux suivants.
Suivez le balisage, la pierre conteuse, vous ferra découvrir comment les hommes l’ont façonnée au gré de leurs besoins, leurs inspirations, …. .
Point de départ
56420 Guéhenno
Restaurée en 1972 à l'initiative de la municipalité, elle date du XVème siècle dans sa forme actuelle, mais elle existait déjà dès le XIIème siècle.
Chaque année, à la Saint Michel, une foire de très grande importance se tenait au Mont. C'était l’une des trois grandes foires du Comté du Porhoët ; la Comtesse y prélevait un droit d'étalage. Renouant avec une ancienne tradition, les Guéhennotais et leurs amis des environs font revivre chaque année "Le Pardon de Saint Michel" qui a lieu le dernier dimanche de septembre.
Classé aux Monuments historiques, de style "renaissance", il présente de magnifiques sculptures sur les lucarnes, les linteaux et les cheminées.
Le manoir de Lemay présente en outre un superbe colombier de plus de 850 nichoirs (appelés boulins), un puits et un four à pain... Dans le verger du manoir, sont exposées les oeuvres réalisées dans la cadre du symposium international de sculpture monumentale sur granit breton en 1996.
Calvaire monumental du XVIe siècle.
Fort de son histoire et chargé de symboles, le calvaire de Guéhenno compte parmi les plus beaux monuments de ce type (un des 7 calvaires classés monumentaux de Bretagne, unique en Morbihan).
Erigé en 1550, il fut détruit presque en totalité en 1793-1794, puis entièrement restauré en 1853 par l'Abbé JACQUOT, aidé de son vicaire et des habitants de Guéhenno.
Deux habitats, deux modes de vie ….
Une maison de notables avec tous ses éléments de richesses (tourelles à l’arrière abritant un escalier, un étage habité, etc.) qui a reçu toute l’attention des artisans.
Et un autre de vie autour de la petite place où vivaient les tailleurs de pierre dans un cadre de vie plus humble et communautaire.
Un savoir faire particulier : la technique du bas relief pour sculpter les deux « chimères ».
La représentation des deux personnages : une protection contre le mal ou un élément de signe extérieur de richesse ?
Les lucarnes sont le détail majeur à observer dans cette rue. Elles sont toutes fait sur le même modèle (à fronton triangulaire mouluré). Elles illustrent une forte identité locale.
L’égnimatique « maison bleue »: Une maison d’après guerre construit par des Italiens.
La maison Le Douarin
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