





Circuit des landes de Gurwant - Campénéac
Une chapelle qui émerge sur le Val Sans Retour et un château emblématique de Brocéliande : pas de doute, vous voici au pays des légendes.
Suivez le balisage jaune mis en place tout au long du circuit (voir photo).
A noter : ce circuit n'est pas praticable en période de chasse (du 1/10 au 31/03)
Rendez-vous sur le site internet de la Destination Brocéliande pour donner votre avis sur ce circuit et découvrir les autres balades et randonnées du territoire : www.broceliande-vacances.com
Retrouvez cet itinéraire dans le topo-guide réf. P353 "Brocéliande à pied®". En vente en librairie, dans les offices de tourisme en Bretagne et sur www.ffrandonnee.fr.


Point de départ

Monument mégalithique ayant la forme d’un coffre, cette sépulture contenait du matériel intéressant, attestant de l’existence d’une agriculture dans la région de Paimpont vers 1200 av. JC.

Placée sous le vocable de Saint-Jean Baptiste, cette propriété privée abritait les statues de Saint-Cornely (patron des bêtes à cornes en Bretagne) et Sainte-Catherine. Plus loin, un curieux bloc rocheux : le pied d’Anon. Un propriétaire de Trécesson, au temps de « Gil Blas », venant de perdre tous ses biens au jeu dans les salons de Versailles, aurait misé ce rocher en dernier ressort en le qualifiant de « Manoir du Pied d’Anon ». Il ne cessa alors de gagner et retrouva ainsi tout ce qu’il avait perdu...

La chapelle Saint-Jean (Prop. Privée) et le pied d’Anon : placée sous le vocable de Saint-Jean Baptiste, elle abritait les statues de Saint-Cornely (patron des bêtes à cornes en Bretagne) et Sainte-Catherine. Plus loin, un curieux bloc rocheux : le pied d’Anon. Un propriétaire de Trécesson, au temps de « Gil Blas », venant de perdre tous ses biens au jeu dans les salons de Versailles, aurait misé ce rocher en dernier ressort en le qualifiant de
« Manoir du Pied d’Anon ». Il ne cessa alors de gagner et retrouva ainsi tout ce qu’il avait perdu...

Bâti à la fin du XVème siècle par Jean de Trécesson, connétable de Bretagne, il garde le souvenir tragique de cette mariée, enlevée de son carrosse par deux gentilshommes masqués et enterrée vivante dans le jardin du château.

La fouille de ce monument mégalithique en 1982 a permis de révéler une structure de calage tout autour du tombeau, mesurant près de 4m de long pour 1m de large et 1m de hauteur. Ce tombeau fut construit à partir de 3 menhirs qui se dressaient dans ce lieu vers 2200 ans avant JC. Aujourd'hui sont visibles les parois et le 3ème menhir couché à 8m de là. Le tombeau d'aujourd’hui date de l'époque du Bronze (environ 1500 avant JC).
Accès depuis le parking : 800 m aller, à pied.
Accessible aux personnes à mobilité réduite (chemin caillouteux).